Tous les articles par sourcesmag

Benjamin, rappeur du groupe Youngsterz

Benjamin, actuellement assistant d’éducation au collège Les Sources au Mans, est aussi un des membres du groupe de rap Youngstersz. Son nom de rappeur est Yako.

logo du groupe Youngsterz

Parle- nous un peu de ton groupe de rap et de ton rôle :

« Le groupe a été créé en janvier 2013. Il se compose d’une dizaine de membres passionnés issus d’origines diverses dont : Jackflaag, Heezy, Jeune Yous, LSK, Sonp’r, KMR, Jessyowens, moi Yako et d’autres … Jackflaag est le créateur du groupe. Infographiste de métier, il a aussi réalisé le logo de Youngsterz.

Pour ma part, je suis rappeur, musicien et je m’occupe de la prise de voix, car j’ai un studio chez moi.

Nos chansons sont composées par un beatmaker (compositeur-arrangeur) ou bien nous téléchargeons sur internet des compositions instrumentales gratuites sur le site Soundclick.

Avez-vous un producteur ou une maison de disques qui s’occupe de vous, de vos activités artistiques, qui organise vos tournées ?

Nous n’avons ni producteur ni maison de disques. Mais nous travaillons avec la ville du Mans. Tous les mercredis, nous proposons un atelier d’écriture à la salle Pierre Perret de 17h30 à 20h.

Nous nous produisons à la Fête de la Musique et au Spot (Skate Park) où doit se dérouler régulièrement le Mouv’Mans, scène ouverte aux spectacles de musique et danse urbaines. Nous participons aussi aux Trophées des légendes urbaines, tremplin musical des Saulnières.

Nous avons une petite notoriété sur le Mans. Nous sommes surtout des artistes locaux qui essayons de nous faire un nom… pourquoi pas à l’échelle nationale.

Parallèlement à tes activités de rappeur, poursuis-tu des études ?

Oui, mon objectif principal est la réussite dans mes études. J’envisage de préparer le Brevet Professionnel JEPS Activités Gymniques de la forme et de la force.

La musique est comme un plan B : ce serait super de réussir dans ce domaine aussi ! »

Pour en savoir plus : https://fr-fr.facebook.com/youngsterz.officiel

 

Anicette Dianingana, Oumnya Isfaoun, Yacine Ayari,

Pierre-Alain Doumouya, 5eB

 

Annie Galipot: une mamie pas comme les autres

Annie Galipot dans sa nouvelle galerie où elle expose ses tableaux

Annie Galipot, née en 1953, habite en Sarthe.

Elle vit et travaille à Mulsanne. Depuis sa retraite, elle a une passion : la peinture, elle en a donc fait son nouveau métier. Elle est reconnue comme peintre coloriste, autodidacte professionnelle depuis 10 ans. Elle peint à l’acrylique. La peinture est vitale pour elle.

Pourquoi peignez-vous à l’acrylique?

J’aime peindre à l’acrylique car je travaille souvent au doigt: « Je mets les mains dedans. » L’acrylique n’a pas d’odeur. J’ai fait environ 300 tableaux avec cette peinture.

Et pourquoi avez-vous choisi cet art?

Tout art m’attire. J’ai choisi la peinture pour ses couleurs, leur mélange me fascine. Elles ont une force,  une lumière et une histoire que chacun peut déchiffrer selon son imagination, sa sensibilité. Cet art m’attire depuis l’âge de douze ans. Je venais de colorier la cape de la Sainte Vierge en jaune au cours de catéchisme quand tout le monde s’est émerveillé de ce beau travail, un merveilleux jaune qui m’a tellement plu et marqué que c’est là qu’est né ma passion de la couleur. Une vraie révélation !

Donc c’est à ce moment là que vous avez eu la révélation des couleurs ?

Oui je suis une passionnée des couleurs, je les mélange et mon tableau prend vie. Ma sensibilité apparait en couleur , ma vie artistique aussi, des scènes de vie au cosmos, des couleurs tendres ou soutenues, mes couleurs s’harmonisent, elles apportent chaleur, bien être, dynamisme, rêverie.Tout est source d’inspiration, un sourire, une voix, un objet, écouter, voir, mais ce sont mes couleurs qui dirigent la toile. Mes émotions viennent du plus profond de moi.

Que faisiez-vous avant d’être peintre ?

Je peins depuis toujours, mais la vie m’a dirigé vers le métier d’esthéticienne.Tout en m’occupant de mes enfants j’ai continué a peindre. Un jour, je vais à une vente aux enchères à Mulsanne, je rencontre le commissaire priseur, j’arrive à lui montrer quelques une de mes peintures.-« Hum » fait-il ! « Intéressant, vous êtes professionnelle? ». « Non » je lui réponds « Alors cela ne m’intéresse pas!  » Je suis repartie déçue en disant : « Demain je serai professionnelle! ». Le lendemain j’ai fait des démarches et l’aventure a commencé. Depuis je n’ai jamais pensé à me séparer de la peinture.

Comment avez-vous réussi à exposer à New York?

Mon travail a été repéré par une galerie de Paris. C’est par son intermédiaire que j’expose à New York. En réalité, c’est deux expositions que je propose. Au mois de juin 2015 je participe à un salon à New York qui regroupe des peintres professionnels avec en présentation 3 à 5 toiles qui pourraient être repérées par des collectionneurs ou des professionnels de l’art. Nous sommes beaucoup d’exposants et c’est dans les salons qu’il y a le plus de ventes. L’entrée est souvent payante. A Monaco où j’expose en juillet, l’entrée est à 100 euros pour les visiteurs !

http://www.anniegalipot.com/

 

Candice Letessier et Mary Gouriou, 5ème B

 

La Cité du Cirque, une cité riche en acrobaties

La Cité du Cirque Marcel Marceau est installée sur l’emplacement de  l’ancienne piscine des Sablons depuis 7 ans. Elle est issue du  partenariat entre l’association Chien de Cirque et la ville du Mans.

Cette structure en forme de cube contient un nombre important de matériels : cerceaux, trapèzes, tout l’équipement nécessaire pour la pratique des arts du cirque. La salle se décompose en trois espaces, chacun dédié à une tranche d’âge. Elle compte plus de 640 adhérents en 2015.

Les professeurs qui enseignent là-bas sont Jérôme, Tika, Marot, Cédric, Anna… et bien d’autres. Tika a 39 ans et il est danseur acrobate. C’est sa 4ème année à la Cité du Cirque. Il enseigne aux

adolescents et assure des stages. Il est notamment le professeur de Taïs et de Lucas :

Taïs : « Je pratique le cirque depuis à peu près un an. Je préfère l’acrobatie. Pour l’instant, je n’ai pas pratiqué plus. Nous nous sommes entraînés mais malheureusement, je ne serai pas présent pour le spectacle de fin d’année à la Cité du Cirque ».

Lucas : « Je pratique aussi le cirque à la Cité du Cirque au Mans depuis environ un an. Je participe à des spectacles dont le spectacle de fin d’année. Je préfère tout ce qui est acrobatie et jonglerie ».

Les cours

Source (photo) : https://plus.google.com/photos/116707449154283075947?pid=6061879280924946514&oid=116707449154283075947

Pour en savoir plus : http://www.citeducirque.com/

Alexandre Daumard et  Mathieu Arnaud, Taïs Visdeloup, Lucas Vérot, Mathis Merceron, 5B

Le club « Mimosa »

Le club « Mimosa » est une association qui se situe au 1 rue de la Forêt et plus précisément à la Maison de quartier des Bruyères. Le club existe depuis environ 60 ans. A l’origine c’est un curé du quartier qui l’a créé pour les jeunes filles du quartier.

Différents types de danses comme Le street jazz, le modern jazz, le la danse africaine, le ragga dance hall ou encore le New jack funck y ont été enseignés. Il y a 80 à 115 élèves chaque année.

Les élèves sont répartis sur cinq groupes : les 4-6 ans et les 7-9 ans qui pratiquent le moderne jazz ont pour professeur Margot et les 10-13 ans, les 14-17 ans et les 18 ans et plus s’entraînent avec Hermeline qui enseigne le street jazz.

Chaque année un gala de danse est organisé entre mai et juin. En 2015 il aura lieu le 23 mai à 20H30 et le thème est « les ressentis et les sentiments ». Chaque chorégraphie a un sous-thème (manipulation, énergie, espoir, complicité, etc…) et un costume lié au thème de cette danse.

Les élèves sont là depuis 1 à 14 ans. Ils ont choisi la danse car ça leur permet de se décontracter, pour la passion, pour se perfectionner et pour le « fun ». Il y a une bonne entente dans les groupes et un bon niveau.

Le groupe des 10-13 ans répétant une de leur chorégraphie.

Interview des professeurs de danse Margot et Hermeline

Petite, avez-vous pratiqué la danse? Si oui laquelle?

Hermeline: « Oui, à 3 ans et j’ai pratiqué le modern jazz.

Margot: Oui et j’ai pratiqué le modern jazz,le break dance, le street jazz et la danse contemporaine.

Qu’est-ce qui vous a donné envie d’enseigner cet art?

H: Avant, mes sœurs m’enseignaient la danse et j’ai une sensation de liberté lorsque je danse.

M: C’est la passion, le souhait de partager mes connaissances et monter un projet, un spectacle.

Comment faites-vous pour créer vos chorégraphies?

H: Je mets les musiques et ensuite les pas viennent tout seuls.

M: Je cherche d’abord mes chansons et ensuite je me sers de ma pratique et de ce que j’ai appris.

Avez-vous un diplôme? Avez-vous passé des concours?

H: Je n’ai passé aucun concours et n’ai aucun diplôme de danse.

Ce sont mes sœurs qui m’ont tout appris.

M: Oui, j’ai le BAFA (brevet d’animation), une licence en art, un parcours danse et un master d’enseignement. »

Adèle Sureau et Laurène Touvet 5èmeB

 

 

Noroc, compagnie de haute voltige équestre

La voltige équestre est un sport qui allie la danse, la gymnastique et l’équitation. Ce sport peut se pratiquer individuellement ou en équipe. La compagnie de voltige « Noroc », entraînée par le champion du monde 2014 Jacques Ferrari, a été créée en 2014. C’est un groupe de jeunes qui s’entraînent trois fois par semaine pour des concours, après l’école ou après le travail, le soir, le mercredi, le samedi et parfois le dimanche matin. Dès leur deuxième compétition, à Saumur pendant le week-end de Pâques 2015, ils ont accroché la deuxième place de l’épreuve par équipe et également la coupe des nations en représentant la France. Ils seront aux championnats de France en juillet prochain au Boulery-Jump à Yvré l’Évêque, qui est aussi leur site d’entraînement.

Ces voltigeurs ont choisi ce sport car ils aiment se mesurer aux autres ainsi que l’adrénaline que cela leur procure. Ils apprécient aussi les sports extrêmes et ils sont tous amoureux du cheval.

Pour organiser leurs chorégraphies, ils procèdent par petits morceaux : quand une figure fonctionne, ils enchaînent sur une nouvelle jusqu’à obtenir une chorégraphie libre « trois étoiles », soit le niveau le plus élevé.

Les membres de l’équipe « Noroc » s’entraînent aussi pour des spectacles destinés au grand public en France mais aussi au Maroc, par exemple, où ils partagent la vedette avec plus de 40 autres artistes comme le voltigeur Nicolas Andréani, champion du monde 2012.

Dans un concours, une équipe de voltige équestre présente un programme imposé et deux programmes libres. Tout programme imposé par la FFE (Fédération Française d’Équitation) compte 7 figures qui doivent être exécutés dans le même ordre durant 6 minutes. Dans un programme libre, les voltigeurs doivent réaliser des figures de leurs choix durant 4 minutes. Dans le second programme libre, l’équipe peut choisir le même enchaînement ou non. Six juges notent les trios. Parmi eux, quatre vont évaluer le(s) voltigeur(s) et deux évaluent le cheval avec le longeur qui fait un travail remarquable pour maintenir le cheval à un galop régulier. Les quatre juges évaluent les voltigeurs en fonction de la variété des figures, de leur aspect technique et artistique.

Manon Leseultre, Elisa Gicquel et Ema Bourdet, 5eB.

Thomas Dussaix, enseignant en arts plastiques à l’école des Beaux-Arts au Mans

A 27 ans, son principal métier est artiste mais il enseigne également aux Beaux-Arts. Il a choisi l’école des Beaux-Arts car il y a des amis et il aime bien enseigner l’art. Il est très curieux.

Il pratique surtout le dessin et la sculpture. Il fait aussi du bénévolat dans des associations qui proposent des cours d’arts plastiques. Il vend ses œuvres.

Thomas Dussaix a installé son atelier, comme six autres artistes plasticiens, à L’Armoire à gaz au Mans, Il aime créer seul mais il demande des conseils aux autres artistes présents dans l’atelier du 39 rue Coëffort au Mans.

Le dessin n’a pas été sa première « orientation artistique ». C’est en fin de cursus à l’École supérieure des Beaux-Arts du Mans, d’où il est sorti en 2010, que cette discipline a pris une part importante dans son travail. Auparavant, il avait essayé différentes techniques et supports.

Il travaille avec la pierre noire (pierre issue des mines). Estompeur, brosse à dent en ferraille, crayon de pierre noire, chiffon, bombe de peinture (noire de préférence) constituent l’essentiel de son matériel.

Thomas Dussaix, a obtenu le 1er Prix du dessin Pierre David

Weill, décerné par l’Académie des Beaux-Arts de Paris. « Dans le dessin, j’ai trouvé tout ce qui m’intéresse », explique le jeune artiste. Même si cela ne l’empêche pas de temps en temps « d’aller voir ailleurs » car il adore pratiquer d’autres arts : infographie, photos…

Thomas Dussaix, lors d’une exposition à la Cité des arts

 

source de la photo : http://www.ouest-france.fr/thomas-dussaix-le-benjamin-de-pulsart-904905

ALEXANDRE FAUSSABRY ET TINO RENARD 5B

Forza Horizon 2

Bugatti Veyron

Ferrari
Pagani

Genre : jeu vidéo de course à jouer sur X Box One et X Box 360.

Forza Horizon 2 est un jeu vidéo de course dans lequel vous pourrez parcourir une map allant du sud de la France au nord de l’Italie.

Au tout début vous irez à un festival à bord d’une Lamborghini Huracan. Vous achèterez une voiture de base pour commencer. Mais pour vous en acheter une plus belle et plus puissante, il faudra bien sûr gagner de l’expérience et de l’argent.

Défis

Vous devrez faire des courses avec différents types de véhicules (tout-terrains, hypercars, muscle…).

Vous pourrez aussi jouer en online avec d’autres joueurs et si vous le souhaitez, former un club avec vos amis.

Vous pourrez aussi faire des courses contre des trains, des avions, des montgolfières et en plus, vous devrez trouver des granges dans lesquelles il y aura des voitures de collection rarissimes comme la Lamborghini Miura ou la Ferrari Testa Rosa.

Pour votre supercar, je vous recommande personnellement d’en choisir une allant à plus de 350 km/h. Je vous recommande la Bugatti Veyron SS, la Ferrari, la Mc Laren p1, la Pagani Huyra, la Lamborghini Veneno, la Koenigsegg Agera et enfin la Hennessey Venom GT. Mais libre à vous de choisir. Il y a des défis très variés comme battre des records de vitesse, de drift, de sauts

DLC

Les DLC sont des packs de jeux rechargeables. Ils coûtent généralement 10 euros.

Il y a le DLC Storm-Island, une île dans laquelle vous devez faire des rallyes sur des routes escarpées.

Il y aussi le pack Fast and Furious sorti un jour avant la sortie du film. Vous serez guidés par la voix de Tej Parker qui a joué dans le film. Il vous demandera de conduire la célèbre Dodge Charger de Dominique Torreto et de gagner des courses pour gagner les 10 voitures emblématiques du film. Aller au bout du jeu vous prendra au minimum 2h30.

 

 

 

Jeux de même catégorie recommandés :

Drive Club

The Crew

Project Cars

A suivre en 2015 :

Le prochain NEED for SPEED

Jérémie Bandou


Tree of savior

Avertissement : cet article traite d’un jeu vidéo qui n’est pas encore sorti. Il se peut donc que l’auteur de cet article tienne quelques propos incertains ou inexacts.

Aujourd’hui je vais vous parler de Tree of savior. C’est un MMORPG coréen (encore un)… un MMORPG coréen, donc édité par Nexon.

Il est récemment sorti en closed bêta et pour ceux qui ne savent pas ce que c’est, « closed bêta » (ou bêta fermé) est une phase de test très souvent utilisée pour les MMO. Celle-ci consiste à tirer au sort des personnes (souvent inscrites sur le site du jeu pour y jouer) afin que celles-ci puissent donner leurs ressentis et que les développeurs puissent ainsi améliorer leur jeu (ajouts de système, correction des bugs …).


Ce jeu a l’air génial et je vais vous expliquer pourquoi.

Pour commencer, il est conçu par Kim Hakkyu qui est tout simplement le concepteur du cultissime Ragnarök Online (jeu précédemment analysé sur ce lien https://passerelle2.ac-nantes.fr/sourcesmag/2014/04/03/ragnarok-online/).

Ensuite, Tree of savior possède le même style de graphisme que RO comme vous pouvez le constater :

Enfin, le gameplay a l’air vraiment intéressant et très dynamique. Les classes semblent recherchées et très variées.

D’après ce que j’ai écouté, la musique a l’air énorme *-* !!!

Assawolf, alias Frédéric Bytha

FLEURISTE

Introduction

Le métier de fleuriste est pour moi un travail manuel et artistique.

Je commence déjà à m’y habituer quand j’aide et j’observe ma mère dans sa boutique de fleurs.

La partie florale est celle que je préfère : la beauté des fleurs, de leur aspect…

Et il faut se dire qu’un fleuriste n’est pas obligé de ne vendre que des fleurs mais il peut proposer aussi des plantes, des pots, des décorations.

Je pense être créative.

Quant à conseiller les clients sur un choix de fleurs ou de bouquets, je commence à échanger avec eux quand je suis à la boutique. J’aide aussi ma mère à la caisse quand je rends la monnaie aux clients.

Ce qui rend ce métier si passionnant à mes yeux, c’est bien sûr les fleurs et l’échange avec les clients.

hortensia

 

Définition

Un fleuriste est un artisan spécialisé dans la vente de fleurs, dans la confection de bouquets de fleurs ou d’assemblages appelés « compositions ».

Il s’approvisionne chez un horticulteur ou chez un grossiste ou même « au cadran » principalement aux Pays-Bas.

Il compose des bouquets et peut renseigner les clients sur les caractéristiques de chaque plante ou fleur.

Le nom autrefois de la fleuriste était la bouquetière car à l’époque on vendait des petits bouquets sur le marché.

fleuriste à l’oeuvre

 

Interview

Michel Alleton : fleuriste et président de la chambre patronale des fleuristes.

 

 

La chambre patronale des fleuristes : qu’est-ce que c’est ? Quel est son but ?

La chambre patronale des fleuristes est une association des commerçants fleuristes qui contribue au développement économique de la profession. Elle organise des concours pour de jeunes fleuristes, des animations publicitaires (cours et jardins). Son but, c’est de faire évoluer le métier.

Que signifie être président de la chambre patronale des fleuristes ?

C’est défendre les intérêts de la profession auprès des services publics.

Comment avez-vous été choisi ? Est-ce une tâche difficile à supporter ?

J’ai été choisi suite à plusieurs réunions professionnelles avec tous les fleuristes de la Sarthe, et ils m’ont choisi parce que je suis très actif et déterminé à faire évoluer le métier de fleuriste. C’est une tâche difficile mais très passionnante parce que j’ai le plaisir de partager mon savoir-faire.

Est-ce par hasard que vous avez choisi le métier de fleuriste ?

Par passion pour les fleurs, les végétaux, la nature car depuis mon enfance, j’y attache beaucoup d’intérêts.

Quelles études avez-vous faites ?

J’ai passé un Brevet de Technicien Agricole complété par des stages de formation professionnelle.

Qu’aimez-vous dans ce métier ?

J’aime tout. C’est un métier passionnant où j’ai plaisir à créer des compositions, des bouquets et à être au contact  avec la clientèle.

 

Formation

Après la 3e : deux ans d’études pour préparer le CAP fleuriste, qui peut être complété par le BP fleuriste (deux ans souvent par apprentissage) ou par le BTM fleuriste (deux ans).

Ces diplômes sont bien adaptés pour s’installer à son compte.

Pour devenir fleuriste on peut passer :

  • CAP en un an ou en deux ans,
  • Bac pro productions horticoles, spécialité productions florales,
  • Bac pro conseil-vente en produits de jardin,
  • BP (brevet professionnel) fleuriste : s’adresse à des personnes déjà engagées dans la vie active et qui veulent se professionnaliser,
  • BTSA productions horticoles : qualification plus élevée qui s’adresse à des responsables ou grossistes en horticulture,
  • BTSA technico-commercial champ professionnel jardin et végétaux d’ornement : responsabilités en distribution et jardinerie.

 

fleuristes en formation

Culture

Je vais vous présenter différentes formes de roses et plusieurs variétés :

Les formes :

  • Forme plate : les fleurs ouvertes, le plus souvent simples ou semi-doubles, ont des pétales presque aplatis.
    Rosa Dupontii

     

  • En coupe : les fleurs ouvertes, de simples à très doubles, ont des pétales incurvés, donnant à la fleur une forme générale de coupe.

    Rosa Penelope

     

  • A cœur en pointe : les fleurs, de semi-doubles à très doubles, à centre saillant et compact, ont la forme élégante des Hybrides de Thé.
    Rosa Grandpa Duckson

     

  • En urne : forme classique de type Hybrides de Thé : les fleurs de semi-doubles à très doubles, sont aplaties au sommet, à pétales incurvés.
    Rosa Anne Harkness

     

  • Forme arrondie : les fleurs, doubles ou très doubles, ont des pétales de taille égale, se chevauchant et formant une masse aux contours bien arrondis.
    Rosa Mountbatten

     

  • Rosette : les fleurs, le plus souvent doubles ou très doubles, sont plutôt aplaties et ont de nombreux pétales de taille inégale, se chevauchant légèrement.
    Rosa Sheri Anne

     

  • Rosette à quartiers : les fleurs, le plus souvent doubles ou très doubles, sont plutôt aplaties et ont des pétales de taille inégale, délimitant des quartiers au centre de la fleur.
    Rosa Fire Princess

     

  • Pompon : les petites fleurs, de forme arrondie, doubles ou très doubles, le plus souvent réunies en bouquets, ont des masses de petits pétales.
    Rosa Toulouse Lautrec

     

 

La boutique « L’atelier » d’Armelle Alleton :

Installé depuis quatre ans 24 rue Jankowski (à proximité de l’office de tourisme) en pleine zone piétonne au Mans.

Ouvert du lundi de 14h à 19h au samedi de 9h30 à 19h.

Le rez-de-chaussée est occupé par l’odeur délicate des fleurs coupées. Le 1er étage est, lui, consacré à la décoration et aux plantes soigneusement sélectionnées sur le plus grand marché floral d’Europe (à Aalsmeer en Hollande) où Armelle se rend tous les mois. On trouve notamment ici de nombreuses variétés d’orchidées et différents cache-pots tailles XXL pour l’intérieur ou l’extérieur.

Réalise des abonnements pour fleurir restaurants, entreprises, notaires, boutiques…


Réalisation de :

  • Mariage.
  • Deuil.
  • Centre de table.
  • Aménagement de jardins.
  • Composition.
  • Bouquets.
  • Anniversaire.

Bibliographie:

  • « 240 métiers qui recrutent », éd. Ouest France, Spécial Avenir.
  • Wikipédia
  • « le dico des métiers », éd. Onisep.
  • « www.cidj.com »
  • « http://atelier-armellealleton.over-blog.com/ »
  • « http://www.justacote.com/le-mans-72000/fleuriste/l-atelier-armelle-alleton-942478.htm »
  • « Grande Encyclopédie des plantes & fleurs de jardin », éd. Bordas, Sélection du Reader’s Digest.
  • « http://www.mansea.fr/annuaire-des-commercants/ads-entry-228.html »
Sculpture du plus gros bouquet du monde

Lucie Alleton

 

 

 

La famille Bélier

Sortie :

« La famille Bélier » est un film sorti le 17 décembre 2014.

 

Histoire :

Dans la famille Bélier, tout le monde est sourd sauf Paula, 16 ans. Elle est une interprète indispensable à ses parents au quotidien, notamment pour l’exploitation de la ferme familiale. Un jour, poussée par son professeur de musique qui lui a découvert un don pour le chant, elle décide de préparer le concours de Radio France. Un choix de vie qui signifierait pour elle l’éloignement de sa famille et un passage inévitable à l’âge adulte.

 

Informations :

– Il y a principalement des chansons de Michel Sardou dans ce film.

– Il y a plus de 4 millions d’entrée depuis sa sortie.

– Réalisateur : Éric Lartigau

– Acteurs : François Damiens, Karin Viard, Louane Emera, Éric Elmosnino

– Durée : 1 h 45

– Origine : France

– Langue : française

 

Voici un lien vers la bande annonce du film avec quelques avis sur le film :

 

http://www.leblogtvnews.com/2014/12/box-office-tres-bon-demarrage-pour-le-film-la-famille-belier.html

 

Les avis des spectateurs sont très positifs. Ils disent :

« Drôles, émouvants, touchants. »

« Superbes! A voir et a revoir! »

« C’est un film merveilleux ! »

 

Stenly Germain et Candice Letessier