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Publié le 19 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

Le premier travail des élèves s’est fait aux Archives Municipales de Cholet. Le travail de préparation des séances est effectué en amont conjointement avec Nathalie Lucas, responsable du service éducatif. Il est possible de faire des recherches en ligne sur certains de ses ancêtres : http://www.cholet.fr/archives/registre-etat-civil.php

    Le lycée Clemenceau de Nantes réalise sur son site « 1913-1919 Nos ans Criées  » un travail de recherches sur des anciens élèves du lycée nantais morts pour la France, sur le « Parler Poilu », sur l’actualité pendant les années de guerre. La présence de Choletais dans ce lycée avant la guerre et d’un footballeur du Club Olympique Choletais – Adolphe Lespers – est l’occasion d’échanges fructueux grâce à Jean-Louis Liters. http://www.nosanscries.fr/

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      Auguste Sibileau, Demi au Club Olympique Choletais

      Publié le 18 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Auguste Sibileau

      Présentation :

      Auguste Sibileau était le fils d’Auguste Célestin et de Victorine Augustine Lagarde et est né le 4 juin 1893 à Cholet. Ses parents sont domiciliés à Vern d’Anjou. Il mesurait 1m70. Il habitait à Cholet, il n’était pas marié. Il avait deux  jeunes sœurs : Victorine et Ernestine. Son niveau d’instruction était le niveau 3. Il est allé au collège communal de Cholet.

      Avant la guerre :

      Auguste  Sibileau était  employé de commerce. Il était demi c’est à dire milieu de terrain de son équipe de foot, le Club Olympique Choletais.

      Pendant la guerre  :

      En 1914, il avait 21 ans, son numéro de matricule était le n°362 et le numéro de régiment était le 77ème Régiment d’infanterie. Auguste Sibileau combattait principalement en France. Il a été caporal le 28 mai 1914 et sergent le 24 septembre 1914. Auguste Sibileau est mort au début de la guerre à l’âge de 21 ans de suite de blessures de guerre le 27 septembre 1914 à Sept Saulx dans la  Marne. C’est le second footballeur à mourir au combat.

      Certains portraits de footballeurs ont été écrits en consultant les Archives Départementales du Maine et Loire en ligne par plusieurs élèves en salle informatique via le forum e-lyco. Ici, il s’agit d’ Océane, Khadidiatou, Simon, Thomas, François, Bradley, Soline, Altan, Lucas, Ethan.

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      Auguste Coutant, Demi au Club Olympique Choletais

      Publié le 17 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Présentation:

      Auguste Coutant

      Auguste Louis Léon Coutant est né le 24 Mars 1891 à Argenton-Château dans les Deux-Sèvres. Il habitait à Cholet. Ses parents s’appelaient Auguste Louis Coutant et  Marie Delavaud. Il avait les cheveux noirs et les yeux marron. Il mesurait 1m70. Son front était de taille moyenne et son nez également (largeur : petit). Il savait conduire mais ne savait pas jouer d’instruments. Il a passé au moins une année au collège communal de Cholet. Il avait le niveau d’instruction 4 c’est à dire qu’il avait obtenu le brevet élémentaire.

      Avant la guerre:
      Il était instituteur. Il était célibataire. Il jouait au football au Club Olympique Choletais et occupait la place de demi.

      Pendant la guerre :

      En 1914 Auguste Coutant avait 23 ans. Il avait le n° de matricule 716. Il était au 77 ème régiment d’infanterie.  Il était caporal au début de la guerre, est devenu sergent le 1er janvier 1915 puis a été nommé sous-lieutenant à titre temporaire le 23 avril 1916 et lieutenant à titre temporaire en juillet 1918. Il a combattu en France contre l’Allemagne. Il a été blessé le 16 mai 1916 à la côte 304, de plaie sur la cuisse droite – de plaie antérieur cuisse gauche – de plaie partie inférieure des deux fesses par l’éclat d’un obus.

      Après la guerre :

      Il se marie à Paris en juillet 1919. Il a reçu la distinction de Chevalier de la Légion d’Honneur par le décret du 30 décembre 1931. Il meurt à Nice en 1972.

      Certains portraits de footballeurs ont été écrits en consultant les Archives Départementales du Maine et Loire en ligne par plusieurs élèves en salle informatique via le forum e-lyco. Ici, il s’agit de Théo, Matthis,  Elouan, Alexis, Coralie, Nawelle, Esteban, Timéa, Éliane.

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      Auguste Quintin, Arrière du Club Olympique Choletais

      Publié le 17 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Auguste Quintin

      Présentation :

      Auguste Quintin est né le 27 octobre 1893 à Angers.

      Son père s’appelait Louis-Eugène Quintin et a disparu. Sa mère s’appelait Augustine Seray. Il habitait à Angers. Il avait les cheveux châtains clairs, les yeux bleus, le front moyen, le nez rectiligne, le visage ovale, il mesurait 1m 68cm et portait une cicatrice sur le mollet gauche.

      Avant la Guerre :
      Il exerçait le métier de menuisier. Il jouait arrière en 1913 dans l’équipe de football du Club Olympique Choletais. Il était célibataire et résidait à Angers

      Pendant la guerre :

      En 1914, il était âgé de 21 ans. Son numéro de matricule était le 1681. Il débute la guerre dans le 6° régiment d’infanterie et change très régulièrement de régiment suite aux attaques ennemies. Il passe par exemple au 1er régiment du Génie le 30 août 1917.
      Il combat en France et en Belgique. Il a été blessé le 28 juin 1917 par un éclat d’obus dans le pied droit au ravin du Paradis lors de la bataille du Chemin des Dames.(Dans le département de l’Aisne)

      Il a eu une citation le 2 juillet 1917 :  » Excellent pointeur qui s’est maintes fois distingué par son courage notamment sur la Somme en servant sa pièce sous un violent bombardement. » Il retourne aux armées le 17 novembre 1917.

      Il est décoré de la croix de guerre, étoile de bronze.

      Il survit à la guerre. Il se marie une première fois à Angers en 1923 avec Nelly Debray dont il divorce ensuite avant de se remarier à Cholet avec Gabrielle Sachot. Il meurt à Paris le 30 janvier 1973.

      Certains portraits de footballeurs ont été écrits en consultant les Archives Départementales du Maine et Loire en ligne par plusieurs élèves en salle informatique via le forum e-lyco. Ici, il s’agit de Noémie, Chloé, Matthis, Yoann,  Mylène, Alice, Ursula.

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      Marcel Brien, Avant du Club Olympique Choletais

      Publié le 17 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Présentation :

      Marcel Brien

      Marcel Louis Arthur BRIEN est né le 12 avril 1890 au Croisic (dans le département de  la Loire Inférieure). Il habitait à Angers. Ses parents s’appelaient Arthur Brien et sa mère Marie Léonie Bigaillon. Il était petit, il mesurait 1m62 et il était châtain moyen, il avait les yeux bleus verdâtre, il avait un nez d’une hauteur moyenne, il avait un dos cave. Il avait un petit front. Il avait un degré d’instruction de 3 (bien). Donc il sait lire, écrire et compter.

      Avant la Guerre :
      Il était employé de Bureau. Il était célibataire. Il habitait à Angers. Son poste dans l’équipe de football du Club Olympique Choletais : Avant (attaquant maintenant).

      Pendant la Guerre :
      Il avait le numéro de matricule 1228. Il était au 77 ème régiment d’infanterie. Il combattait en Belgique. Il est mort au champ d’honneur le 21 Janvier 1915 à Hooge en Belgique à 25 ans. C’est le troisième footballeur tué au combat.

       

       

       

       

       

       

       

       

       

      Paru dans l’Intérêt Public du 14 mars 1915

       

       

       

       

       

       

       

       

       

      Certains portraits de footballeurs ont été écrits en consultant les Archives Départementales en ligne par plusieurs élèves en salle informatique via le forum e-lyco. Ici, il s’agit de Lévy, Adrien, Jassim, Brahim, Alex, Charlotte, Emilie, Mélissa, Célia.

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      Raoul Brun, Avant au Club Olympique Choletais

      Publié le 17 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Présentation :

      Raoul Brun

      Raoul Brun est né le 29 avril 1895 à Reims.¹Il habitait à Cholet, 11 rue Gambetta. Ses parents s’appelaient Marius Brun et Marie-Rosalie Isoird. Son père était graveur et sa mère sans profession. Ce soldat était châtain, le visage ovale, un front haut, yeux gris et un nez rectiligne. Il mesurait 1m67. Il a un niveau élevé d’instruction : le niveau 4. Il a passé au moins une année au collège Communal de Cholet (actuel collège Colbert).

      Avant la guerre :

      Il était élève en pharmacie. Il était Avant dans l’équipe de football et mettait de nombreux buts. Il a au moins une fois participé à un match de football-rugby avec le COC et selon le journaliste² « a par ses dégagements sauvé plusieurs fois l’honneur du COC« .  Il était célibataire. Il habitait à Cholet.

      Pendant la guerre :

      Il avait 19 ans en 1914. Il avait le n° de matricule 1157 et appartenait au 9ème régiment, section infirmier militaire. Il combattait en France. Il a été blessé le 28 juin 1918 par un  éclat d’obus à Saint- Pierre Aigle dans l’Aisne en Picardie : il a eu plusieurs plaies aux jambes et il a perdu ses phalangettes à l’index et médium droit. Il a eu une citation le 15 juillet 1918 : « Brancardier d’un dévouement exemplaire et d’un courage à toute épreuve. A eu la main droite mutilée par un éclat d’obus en se  portant au secours d’ un de ses camarades blessés.« 

      Il a survécu à la guerre. Il se marie le 31 août 1920 à  Saint-Lô dans la Manche avec Arthémise Jeanne dit Fontaine. En 1960 il habite au Mans.Il décède à Allones dans la Sarthe le 20 novembre 1981.¹

      Certains portraits de footballeurs ont été écrits en consultant les Archives Départementales en ligne par plusieurs élèves en salle informatique via le forum e-lyco. Ici, il s’agit de Thomas, Matthieu, Capucine, Lilou, Liliant, Martin, Émilie, Rosalie, Estelle, Julie.

      ¹ Acte de naissance, registre des naissances de Reims, N°986.

      ² L’Ouest du 5 février 1914

       

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      Mon ancêtre dans la guerre : Dominique Puau

      Publié le 17 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

       

      Mon ancêtre s’appelait Dominique  Eugène Henri Puau. C’est mon arrière-arrière- grand-père. Il est né le 27 novembre 1881 à Saint-Michel-Mont-Mercure en Vendée. Ses parents s’appelaient Louis Puaud et Marie Pasquier.

      Avant la guerre:

      Il avait les cheveux châtain, les yeux de couleurs châtain et il mesurait 1m64. Il était cultivateur. A cette époque il était célibataire.Il habitait à Saint Michel Mont Mercure en Vendée.

      Pendant la guerre:

      En 1914, il avait 33 ans. Il a été rappelé à l’activité par le  décret du  1er août 1914. Il était au 125ème Régiment d’Infanterie puis il est passé au 98e Régiment d’infanterie le 27 novembre 1918. Il a été porté disparu en 1918 à Orvillers- Sorel (Oise). L’avis officiel date du 25 septembre 1918. Toute sa famille a cru qu’il était mort mais 4 mois après,  le maire a été prévenu qu’il n’était pas mort mais prisonnier ! Il est rapatrié en France le 7 Décembre 1918,  mais il est rentré uniquement chez lui le 19 janvier 1919.

      Dominique Puau

      Mon ancêtre et moi :

      C’est ma grand-mère qui m’a appris cette histoire mais en faisant des recherches, j’ai appris des détails que je ne connaissais pas. Je suis à la fois émue et heureuse de mettre intéressée à cette histoire.

      Rosalie C., 4ème B

      Merci à la mamie de Rosalie pour sa gentille lettre et ses encouragements.                                                                                                              Mme Bossy-Guérin


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      Un soldat dans la grande guerre: Marcel Jousse

      Publié le 16 janvier 2015 par anaisd

      Marcel Adolphe Alphonse Jousse est né le 22 Février 1893 à Cholet. Ses parents s’appelait Alphonse Jousse et Berthe Lenoir. Sa mère est décédée peu de temps après la naissance d’un deuxième garçon alors que Marcel avait 2 ans.

      Avant la guerre :

      Il avait des cheveux blonds, des yeux bleus, un front haut et vertical et il mesurait 1m60. Son degré d’instruction était 5, c’est le niveau le plus élevé.Il a été élève au collège communal de Cholet et avait obtenu en 1902 plusieurs prix : le premier prix en récitation, le second en écriture et un accessit en calcul. Il était alors dans la 3ème division. Il a ensuite intégré le lycée de Nantes.(actuel lycée Clemenceau)

      Il était employé de commerce

      Pendant la guerre :

      Il était dans le 32ème régiment d’infanterie. Il devient caporal le 14 septembre 1914 et sergent le 3 octobre 1914. Il est mort le 12 novembre 1914 à Zonnebeke. De nombreux soldats sont morts lors de cette bataille. Il avait 21 ans.

      Anaïs D., 6ème E

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      Mon ancêtre dans la guerre: Maxime de Laubier

      Publié le 16 janvier 2015 par eliasdl

      Avant la guerre :

      Mon ancêtre s’appelait Marie Alcime Timoléon Maxime De Laubier et c’était mon arrière-arrière-grand-père. Il est né le 26 mai 1893. Son numéro de matricule est 4835, il habitait à Roubaix.

      Il avait les yeux gris bleu, les cheveux châtains et faisait 1,73m. Il était employé dans une administration. Il a été engagé volontaire pour trois ans à Roubaix le 25 septembre 1913. Ses parents s’appelaient Aristide Oscar Georges et Yvonne Cadou.

      Pendant la guerre :

      En 1914, il a 21 ans. Il est passé dans l’aviation le 30 décembre 1914. Il a été caporal le 10 septembre 1914, redevient soldat de 2° classe le 28 février 1915, a été sergent le 1 avril 1915, passé au 102ème régiment d’infanterie le 27 mai 1916 puis il est passé au deuxième groupe d’aviation le 1 janvier 1917. Il est mort le 30 juillet 1918 à l’ambulance de suites de ses blessures à 25 ans.

      Mon ancêtre et moi :

      Je ne connaissais pas cette histoire et ça m’a très intéressé de savoir ce qu’il a fait et ce qu’il lui est arrivé.

      Elias dL. 6ème C

       

       


       

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      Comment naît une équipe de football ?

      Publié le 14 janvier 2015 par Sylvie Bossy-Guérin

      Un professeur serait à l’origine de l’introduction du football à Cholet (selon François Raimbault, ancien élève du collège Communal, joueur puis président du C.O.C. cité par Elie Chamard¹). Un professeur d’anglais au collège Communal (actuellement collège Colbert), Monsieur Alphonse Duplenne. Originaire de la Manche, il aurait découvert ce sport en se rendant en Angleterre et l’aurait fait pratiquer ensuite à ses élèves dans la cour de récréation.

      Plusieurs joueurs du Club Olympique Choletais sont, de fait, des anciens élèves du collège Colbert ². C’est le cas de Victor Simon, Pierre  Blouen, Camille Quesson, Camille Brégeon, Auguste Sibileau, Marcel Faligand, Auguste Coutant et Raoul Brun. Certains d’entre-eux étaient par ailleurs dans la même classe. Huit  joueurs, soit l’essentiel de l’équipe première championne d’Atlantique en 1914 ! Sans compter les remplaçants comme Gustave Renou ou Georges Giron .

      L’Intérêt Public du 28 décembre 1962 indique que ce sont Pierre Blouen, Marcel Faligand et Charles Vigan qui ont eu l’idée de la création d’un nouveau club de football sur Cholet. Un club neutre sans affiliation aux « laïcs ou aux patros » (les patronages sont des associations de loisirs encadrés par les curés).

      Quoi de mieux que des amis passionnés de football  pour créer ce nouveau club ?

      Des amis qui pratiquent le football dans plusieurs clubs. Pierre Blouen joue à Nantes au S.N.U.C. en 1912³ où il a peut-être également rencontré sur les terrains nantais Adolphe Lespert³, élève au lycée de Nantes (actuellement le lycée Clemenceau) qui intègre en septembre 1913 l’équipe choletaise. Camille Quesson et Camille Brégeon sont par ailleurs cousins.

      Des soldats du 77ème Régiment d’Infanterie de Cholet rejoignent le C.O.C. comme Louis Fabre, originaire de Dordogne, qui participe aussi à des matchs de football dans le championnat de France militaire. François-Joseph Lepont, sergent au 77ème RI qui fait partie de la première équipe en septembre 1913, meurt accidentellement le 12 juillet 1914 en se noyant dans l’étang de la Godinière à Cholet. Il avait 21 ans.( Le Petit Courrier du 13 juillet 1914)

      De la passion, conjuguée au talent et associée à l’amitié, voilà la formule gagnante du « jeu à la choletaise » !

      Mme Bossy-Guérin

      ¹ Elie Chamard, « 20 siècles d’histoire de Cholet », Hérault éditions, 1991.

      ² Merci à Mme Druffin, Principale du Collège Colbert qui a mis à ma disposition les archives du collège.

      ³ Merci à Hervé Padioleau, spécialiste du SNUC, pour les informations sur Pierre Blouen et à Jean-Louis Liters pour les informations sur Adolphe Lespert et le lycée Clemenceau de Nantes (Site « Nos Ans Criés  » à découvrir absolument)

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