L’œil d’Horus se dit oudjat en égyptien ce qui veut dire « complet ». Il un œil humain fardé et souligné de deux marques colorées caractéristiques du faucon pèlerin. Les Égyptiens l’utilisaient pour indiquer les fractions du hékat, unité de mesure de capacité qui servait pour les céréales, les agrumes et les liquides (un hékat valait environ 4,785 litres). C’est dans la légende des dieux Osiris et Horus qu’il faut chercher l’origine vraisemblable de cette curieuse notation.
Osiris, premier souverain de la terre d’Égypte, avec l’aide de Thot, maître suprême de l’arithmétique, de la parole et des scribes, initie les Égyptiens à l’écriture, à la science et à la magie. À l’opposé, son frère Seth, incarnation du mal, est jaloux et hait Osiris en raison de l’affection que tous lui portent. Seth tue Osiris puis s’en prend à son fils posthume Horus. Au cours d’un combat, Seth arrache l’œil gauche d’Horus, le coupe en six morceaux et le jette dans le Nil. À l’aide d’un filet, Thot récupère les morceaux mais il en manque un ! Thot le rajoute et rend à Horus son intégrité vitale.
(Texte écrit par F. Saugeon)
Archives mensuelles : janvier 2014
Atelier sciences 23 janvier
Aujourd’hui Jeudi 23 janvier avec Elise et Lucie, deux étudiantes à l’Ecole des Mines, Cathy l’enseignante et trois élèves nous avons fait des expériences sur l’électricité.
Tout d’abord,nous avons utilisé un appareil : le multimètre ci-dessus pour vérifier l’état de la pile: elle mesurait 4,2 volt.
On a appris que la tension n’est pas toujours celle inscrite sur la pile, c’est pour cela qu’on doit tester les piles et parfois en racheter pour qu’elle puisse alimenter correctement un circuit.
Les étudiantes ont proposé de créer à notre tour une pile en utilisant des drôles de choses (du coca, des pommes de terre, des plaques de cuivre et des clous en zinc, diode)
Voici, quelques images des manipulations:
Le Roman de Renart
Les nom des personnages du Roman de Renart, enluminés
par Mia et Tristan, élèves de 5ème…
une poésie revisitée…
Après avoir lu une poésie de Jacques Charpentreau,
Margot a essayé de préciser les noms en utilisant des propositions relatives (en rose) : Voici le résultat
Chez moi,
Le réfrigérateur, qui est jaune, ronronne,
Le robinet, qui est bleu, miaule,
La radio, qui est cassée, babille,
La pendule, qui est neuve, jacasse,
Le téléphone, qui est vieux, stridule,
La bouilloire, qui est fragile, siffle,
Le sèche-cheveux, qui est gris, bourdonne,
La sonnette, qui se lave, couine,
L’aspirateur, qui est amoureux, rugit,
Le chauffe-bain, qui est violet, beugle,
L’électrophone, que j’aime pas, gazouille,
La machine à laver, qui est blanche, mugit,
Le magnétophone, qui est dans ma chambre, jase,
Le moulin à café, qui est noir, vrombit,
Quel travail
Pour dompter toute cette ménagerie !
Margot (CM1)
Atelier sciences du 16 janvier
Aujourd’hui avec Elise et Lucie, deux étudiantes de l’Ecole des Mines et Cathy l’enseignante, nous avons fait des expériences sur le thème de l’électricité.
De l’observation d’une ampoule à filament,
à un interrupteur simplifié.
Les élèves ont pu tester des matériaux qui conduisent l’électricité (conducteurs)et remarquer ceux qui ne conduisent pas l’électricité (isolants)
Chaque élève avait à sa disposition du matériel et il a pu réaliser des circuits en série et pour d’autres des circuits en parallèle.
Il y avait tant de choses à découvrir que l’on continue la semaine prochaine!!
Le nombre d’or : un nombre qui fascine
1,61803398875… Ce nombre correspond à une proportion. On le désigne par la lettre grecque « Phi » en hommage à Phidias – sulpteur grec qui décora le Parthénon à Athènes.
Il est présent dans des phénomènes naturels, par exemple dans la fleur de tournesol, dans la pomme de pin ou encore dans la coquille de certains mollusques. On le retrouve dans l’oeuvre des plus grands artistes (Vitruve, Salvador Dali ou Léonard de Vinci). Il est aussi omniprésent dans les monuments remarquables tels que le Parthénon, Notre Dame de Paris…
Pour en savoir plus sur ce nombre, regardez la vidéo ci-dessous :
Ou encore celle-ci :