Classe découverte en Auvergne

JOUR 2

7 h 30 : Premier réveil au centre après une nuit très calme.

8 h 00 : Petit déjeuner : pain-beurre, confiture, lait, céréales, jus d’orange … mais pas trop car nous enchainons sur un long trajet en car !

9 h 00 : Il n’aura jamais été aussi long, notre passage au vestiaire : des chaussures de randonnée, comment ça « marche » ? Ces lacets, ces crochets … Moins facile que des baskets à Velcro !

10 h 00 : Vulcania, le parc d’attractions, nous attend.

Namazu, le train et ses loopings, sera notre point phare de la journée. Les plus téméraires du premier tour donnent envie à ceux qui n’ont pas tenté de monter, de le faire au second passage !

L’atelier pédagogique « Un volcan, comment ça marche ? » asseoit nos connaissances sur les volcans. Notre professeur du jour – sûrement un camarade de Fred et Jamy ! – nous rappelle la formation d’un volcan, car pour lui, « C’est pas sorcier ! ».

Il commente aussi la constitution de notre Terre, du noyau à la croute et nous propose trois expériences. La première, « monoï + eau chaude », nous illustre la remontée du magma à la surface du globe. Et nous risquons fort de ne pas oublier : la manipulation va se révéler explosive ! Vite, papier essuie-tout à la rescousse !

Les deux autres expériences nous rappellent la différence entre volcan effusif et volcan explosif.

Après la classe vient l’heure de la récré et cette récré durera jusqu’à 17 heures : des films en 3D aux films sur écran géant, de fauteuil en plate-forme dynamique, les cris de joie et de frayeur ont fusé bon train.

Nous avons jonglé avec la météo : heureusement le cratère factice nous protégeait des giboulées …

Après notre diner, (tartine auvergnate Cantal et noix sur son lit de salade, poulet haricots verts, yaourt fermier), les enfants se sont attelés à écrire une carte postale à leur famille. Coloriages, jeux de société ont aussi fait varier les plaisirs.

La fatigue commence à se faire sentir et les enfants s’endorment un peu plus tôt ce soir …

Mais CHERS LECTEURS, à la Bourboule, tout n’est pas cool car au pied de la chaîne des Puys, pas de débit !