Le nombre Pi a toujours passionné les scientifiques. L’une des plus anciennes traces de ce nombre remonte à 1800 ans avant J.-C., dans le papyrus de Rhind (une des sources les plus importantes sur les mathématiques de l’Égypte antique). On lui attribuait une valeur proche de 3,26.
Sans ce nombre pas de calcul de la circonférence d’un cercle, pas plus de calcul de son aire ou encore pas de calcul du volume d’une sphère.
C’est un nombre aux décimales sans limite et sans suite logique. On appelle cela un nombre irrationnel.
Voici à quoi ressemble le début de ce nombre : 3,1415926535897932384626433832795028841971693993751058
Aujourd’hui on connaît 10 000 milliards de décimales de Pi ! Si vous voulez chercher les suivantes…
Cette corde -appelée aussi corde égyptienne- a été très utilisée dans l’antiquité et au Moyen Âge. Elle est constituée de 13 nœuds régulièrement répartis entre lesquels on a 12 espaces égaux. La corde une fois tendue peut former un triangle constitué de 3, 4 et 5 espaces dont la particularité est d’avoir un angle droit entre ses deux côtés les plus courts.
Cette corde permettait du coup de vérifier la perpendicularité de deux « longueurs ».Certains maçons s’en servent encore aujourd’hui comme instrument de travail ; par exemple pour vérifier la perpendicularité de deux murs.
On veut prouver que le triangle 3,4 et 5 est bien un triangle rectangle. Quel théorème va-t-on utiliser ?
Thalès était à la fois un mathématicien et un philosophe. Il vivait au VIème siècle avant J-C, près de la ville de Milet, sur les bords de la mer Égée, en Grèce.
L’histoire raconte que le Pharaon Amasis aurait dit que personne n’était en mesure de donner la hauteur de la grande pyramide de Guizeh … Thalès releva le défi !
Après quelques jours de voyage sur le Nil, Thalès aperçut, dressée au milieu d’un large plateau, lapyramide de Kheops. Les dimensions du monument âgé alors de 2 000 ans, dépassaient de loin tout ce qu’il avait imaginé.
Comment allait-il s’y prendre pour déterminer la hauteur de cette pyramide ?
Il regarda son ombre et eut alors cette idée :
« Le rapport que j’entretiens avec mon ombre est le même que celui que la pyramide entretient avec la sienne. »
Il en déduisit ceci : » à l’instant où mon ombre sera égale à ma taille, l’ombre de la pyramide sera égale à sa hauteur. »
Pour en savoir un peu plus sur Thalès de Milet, voir le vidéo ci-dessous :
L’œil d’Horus se dit oudjat en égyptien ce qui veut dire « complet ». Il un œil humain fardé et souligné de deux marques colorées caractéristiques du faucon pèlerin. Les Égyptiens l’utilisaient pour indiquer les fractions du hékat, unité de mesure de capacité qui servait pour les céréales, les agrumes et les liquides (un hékat valait environ 4,785 litres). C’est dans la légende des dieux Osiris et Horus qu’il faut chercher l’origine vraisemblable de cette curieuse notation.
Osiris, premier souverain de la terre d’Égypte, avec l’aide de Thot, maître suprême de l’arithmétique, de la parole et des scribes, initie les Égyptiens à l’écriture, à la science et à la magie. À l’opposé, son frère Seth, incarnation du mal, est jaloux et hait Osiris en raison de l’affection que tous lui portent. Seth tue Osiris puis s’en prend à son fils posthume Horus. Au cours d’un combat, Seth arrache l’œil gauche d’Horus, le coupe en six morceaux et le jette dans le Nil. À l’aide d’un filet, Thot récupère les morceaux mais il en manque un ! Thot le rajoute et rend à Horus son intégrité vitale.
(Texte écrit par F. Saugeon)
Mais quelle fraction de l’œil Thot doit-il rajouter pour qu’Horus retrouve un œil complet ?
Aujourd’hui Jeudi 23 janvier avec Elise et Lucie, deux étudiantes à l’Ecole des Mines, Cathy l’enseignante et trois élèves nous avons fait des expériences sur l’électricité.
Tout d’abord,nous avons utilisé un appareil : le multimètre ci-dessus pour vérifier l’état de la pile: elle mesurait 4,2 volt.
On a appris que la tension n’est pas toujours celle inscrite sur la pile, c’est pour cela qu’on doit tester les piles et parfois en racheter pour qu’elle puisse alimenter correctement un circuit.
Les étudiantes ont proposé de créer à notre tour une pile en utilisant des drôles de choses (du coca, des pommes de terre, des plaques de cuivre et des clous en zinc, diode)
Aujourd’hui avec Elise et Lucie, deux étudiantes de l’Ecole des Mines et Cathy l’enseignante, nous avons fait des expériences sur le thème de l’électricité.
De l’observation d’une ampoule à filament,
à un interrupteur simplifié.
Les élèves ont pu tester des matériaux qui conduisent l’électricité (conducteurs)et remarquer ceux qui ne conduisent pas l’électricité (isolants)
Chaque élève avait à sa disposition du matériel et il a pu réaliser des circuits en série et pour d’autres des circuits en parallèle.
Il y avait tant de choses à découvrir que l’on continue la semaine prochaine!!
1,61803398875… Ce nombre correspond à une proportion. On le désigne par la lettre grecque « Phi » en hommage à Phidias – sulpteur grec qui décora le Parthénon à Athènes.
Il est présent dans des phénomènes naturels, par exemple dans la fleur de tournesol, dans la pomme de pin ou encore dans la coquille de certains mollusques. On le retrouve dans l’oeuvre des plus grands artistes (Vitruve, Salvador Dali ou Léonard de Vinci). Il est aussi omniprésent dans les monuments remarquables tels que le Parthénon, Notre Dame de Paris…
Pour en savoir plus sur ce nombre, regardez la vidéo ci-dessous :
Ou encore celle-ci :
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