Les blobs (la suite)

Les blobs (la suite)

Nous poursuivons nos expériences sur le blob.

Nous dessinons les blobs tout en écoutant une émission de radio à propos du blob, sur Jet FM.

Nous avons lancé notre propre fabrication de sclérotes.

C’est à dire que nous essayons d’endormir le blob. Si cela réussit nous tenterons ensuite de le conserver quelques semaines, puis de le réveiller.

En observant au microscope, on voit très bien le courant du cytoplasme dans les pseudopodes!

Il circule dans un sens , et au bout d’un petit moment, il repart dans l’autre sens! C’est comme ça qu’il avance, grâce à ce courant dans ses « veines ».

Le plus grand blob observé en laboratoire mesurait 10 mètres carrés. Et dans la nature, il y en avait un qui s’étendait sur 13 hectares (environ 15 terrains de foot).

Le blob peut cicatriser en seulement deux minutes, s’il est coupé en deux!

La partie sectionnée cicatrise et devient à son tour un blob autonome. deux blobs peuvent aussi fusionner!

Quand le blob n’a plus assez à manger, le blob entre en sporulation et donc en phase de reproduction. Des poches noires contenant les spores se forment. Le but est qu’elles soient emmenées par le vent . Puis le blob pourra trouver plus loin de la nourriture et de meilleures conditions pour se développer à nouveau.

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