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FLEURISTE

Introduction

Le métier de fleuriste est pour moi un travail manuel et artistique.

Je commence déjà à m’y habituer quand j’aide et j’observe ma mère dans sa boutique de fleurs.

La partie florale est celle que je préfère : la beauté des fleurs, de leur aspect…

Et il faut se dire qu’un fleuriste n’est pas obligé de ne vendre que des fleurs mais il peut proposer aussi des plantes, des pots, des décorations.

Je pense être créative.

Quant à conseiller les clients sur un choix de fleurs ou de bouquets, je commence à échanger avec eux quand je suis à la boutique. J’aide aussi ma mère à la caisse quand je rends la monnaie aux clients.

Ce qui rend ce métier si passionnant à mes yeux, c’est bien sûr les fleurs et l’échange avec les clients.

hortensia

 

Définition

Un fleuriste est un artisan spécialisé dans la vente de fleurs, dans la confection de bouquets de fleurs ou d’assemblages appelés « compositions ».

Il s’approvisionne chez un horticulteur ou chez un grossiste ou même « au cadran » principalement aux Pays-Bas.

Il compose des bouquets et peut renseigner les clients sur les caractéristiques de chaque plante ou fleur.

Le nom autrefois de la fleuriste était la bouquetière car à l’époque on vendait des petits bouquets sur le marché.

fleuriste à l’oeuvre

 

Interview

Michel Alleton : fleuriste et président de la chambre patronale des fleuristes.

 

 

La chambre patronale des fleuristes : qu’est-ce que c’est ? Quel est son but ?

La chambre patronale des fleuristes est une association des commerçants fleuristes qui contribue au développement économique de la profession. Elle organise des concours pour de jeunes fleuristes, des animations publicitaires (cours et jardins). Son but, c’est de faire évoluer le métier.

Que signifie être président de la chambre patronale des fleuristes ?

C’est défendre les intérêts de la profession auprès des services publics.

Comment avez-vous été choisi ? Est-ce une tâche difficile à supporter ?

J’ai été choisi suite à plusieurs réunions professionnelles avec tous les fleuristes de la Sarthe, et ils m’ont choisi parce que je suis très actif et déterminé à faire évoluer le métier de fleuriste. C’est une tâche difficile mais très passionnante parce que j’ai le plaisir de partager mon savoir-faire.

Est-ce par hasard que vous avez choisi le métier de fleuriste ?

Par passion pour les fleurs, les végétaux, la nature car depuis mon enfance, j’y attache beaucoup d’intérêts.

Quelles études avez-vous faites ?

J’ai passé un Brevet de Technicien Agricole complété par des stages de formation professionnelle.

Qu’aimez-vous dans ce métier ?

J’aime tout. C’est un métier passionnant où j’ai plaisir à créer des compositions, des bouquets et à être au contact  avec la clientèle.

 

Formation

Après la 3e : deux ans d’études pour préparer le CAP fleuriste, qui peut être complété par le BP fleuriste (deux ans souvent par apprentissage) ou par le BTM fleuriste (deux ans).

Ces diplômes sont bien adaptés pour s’installer à son compte.

Pour devenir fleuriste on peut passer :

  • CAP en un an ou en deux ans,
  • Bac pro productions horticoles, spécialité productions florales,
  • Bac pro conseil-vente en produits de jardin,
  • BP (brevet professionnel) fleuriste : s’adresse à des personnes déjà engagées dans la vie active et qui veulent se professionnaliser,
  • BTSA productions horticoles : qualification plus élevée qui s’adresse à des responsables ou grossistes en horticulture,
  • BTSA technico-commercial champ professionnel jardin et végétaux d’ornement : responsabilités en distribution et jardinerie.

 

fleuristes en formation

Culture

Je vais vous présenter différentes formes de roses et plusieurs variétés :

Les formes :

  • Forme plate : les fleurs ouvertes, le plus souvent simples ou semi-doubles, ont des pétales presque aplatis.
    Rosa Dupontii

     

  • En coupe : les fleurs ouvertes, de simples à très doubles, ont des pétales incurvés, donnant à la fleur une forme générale de coupe.

    Rosa Penelope

     

  • A cœur en pointe : les fleurs, de semi-doubles à très doubles, à centre saillant et compact, ont la forme élégante des Hybrides de Thé.
    Rosa Grandpa Duckson

     

  • En urne : forme classique de type Hybrides de Thé : les fleurs de semi-doubles à très doubles, sont aplaties au sommet, à pétales incurvés.
    Rosa Anne Harkness

     

  • Forme arrondie : les fleurs, doubles ou très doubles, ont des pétales de taille égale, se chevauchant et formant une masse aux contours bien arrondis.
    Rosa Mountbatten

     

  • Rosette : les fleurs, le plus souvent doubles ou très doubles, sont plutôt aplaties et ont de nombreux pétales de taille inégale, se chevauchant légèrement.
    Rosa Sheri Anne

     

  • Rosette à quartiers : les fleurs, le plus souvent doubles ou très doubles, sont plutôt aplaties et ont des pétales de taille inégale, délimitant des quartiers au centre de la fleur.
    Rosa Fire Princess

     

  • Pompon : les petites fleurs, de forme arrondie, doubles ou très doubles, le plus souvent réunies en bouquets, ont des masses de petits pétales.
    Rosa Toulouse Lautrec

     

 

La boutique « L’atelier » d’Armelle Alleton :

Installé depuis quatre ans 24 rue Jankowski (à proximité de l’office de tourisme) en pleine zone piétonne au Mans.

Ouvert du lundi de 14h à 19h au samedi de 9h30 à 19h.

Le rez-de-chaussée est occupé par l’odeur délicate des fleurs coupées. Le 1er étage est, lui, consacré à la décoration et aux plantes soigneusement sélectionnées sur le plus grand marché floral d’Europe (à Aalsmeer en Hollande) où Armelle se rend tous les mois. On trouve notamment ici de nombreuses variétés d’orchidées et différents cache-pots tailles XXL pour l’intérieur ou l’extérieur.

Réalise des abonnements pour fleurir restaurants, entreprises, notaires, boutiques…


Réalisation de :

  • Mariage.
  • Deuil.
  • Centre de table.
  • Aménagement de jardins.
  • Composition.
  • Bouquets.
  • Anniversaire.

Bibliographie:

  • « 240 métiers qui recrutent », éd. Ouest France, Spécial Avenir.
  • Wikipédia
  • « le dico des métiers », éd. Onisep.
  • « www.cidj.com »
  • « http://atelier-armellealleton.over-blog.com/ »
  • « http://www.justacote.com/le-mans-72000/fleuriste/l-atelier-armelle-alleton-942478.htm »
  • « Grande Encyclopédie des plantes & fleurs de jardin », éd. Bordas, Sélection du Reader’s Digest.
  • « http://www.mansea.fr/annuaire-des-commercants/ads-entry-228.html »
Sculpture du plus gros bouquet du monde

Lucie Alleton

 

 

 

Journaliste sportif

Mots clés : Sport, analyser, rédiger, informer, article*, interview*, presse écrite, télévision, événement sportif, commenter.

Définition  précise d’un journaliste sportif : Un journaliste sportif est tout d’abord un passionné de sport. Il n’est généralement pas pratiquant d’un sport mais il connaît très bien le milieu sportif. Un journaliste est capable de retranscrire des événements, des enjeux ou encore des informations. Il faut savoir parler correctement devant une caméra ou à la radio pour que les auditeurs soient embarqués. Pour être journaliste sportif il faut savoir parler au moins deux langues (l’anglais et le français).

Parcours pour exercer le métier de  journaliste sportif : Pour devenir journaliste sportif, il faut faire soit un bac ES ou un bac L ou un bac S. Ensuite, il faut poursuivre 3 années de plus. Il n’y a pas beaucoup de diplômes pour devenir journaliste sportif mais il faut quand même poursuivre ses études pour aller dans des écoles supérieures de journalisme. Une formation permet d’avoir une bonne culture générale et d’avoir des connaissances techniques, et on se crée beaucoup de contacts avec les stages qu’on fait. Le salaire d’un débutant varie entre 1455 et 2000 euros par mois.

L’histoire du métier : «Les journalistes» existent depuis l’antiquité dans les grands centres urbains où les informations étaient amenées par des messagers et  les événements importants étaient criés. En France, le journaliste devient un symbole de la liberté lors de la protestation de 44 journalistes le 26 juillet 1830 car le roi Charles X rétablit la censure dans les journaux. En 2007 environ 37000 personnes ont une carte de presse en France pour parler du sport.

Définitions spécifiques au métier  :

– Article : un article est un texte où l’on parle d’un sujet précis.

– Interview : une interview est un entretien où l’on interroge une personne sur ses actes, ses idées, ses projets pour publier ou diffuser le contenu de tout ce qu’il a dit.

Mon avis : Je trouve  intéressant de parler du sport et comme je suis un passionné de sport je souhaiterais faire un métier autour du sport. Tous les jours je regarde les actualités sur le sport pour voir comment il faut faire pour parler devant une caméra et je trouve cela passionnant. Je trouve que ce métier me correspond car le sport c’est une passion pour moi.

Sitographie : www.pratique.fr / www.letudiant.fr / www.wikipédia.fr / www.larousse.fr

M. Robert  4e B

Ingénieur en aéronautique

Les mots clés

Les mots clés de ce métier sont : électronique, mécanique, moteur, aérodynamisme, carlingue, avion, satellite, bilinguisme anglais, électronique, mécanique, optique et télécommunication.

 

Le travail d’un ingénieur aéronautique

Un ingénieur aéronautique travaille pour la fabrication d’un avion, d’une fusée, d’un satellite ou d’un hélicoptère.Un ingénieur aéronautique a différentes spécialités :

  • électronique (radars, commandes de pilotage…)
  • mécanique (propulsion, train d’atterrissage, moteur,…)
  • optique (vision dans le cockpit)
  • télécommunication (communication radio).

 

La formation d’un ingénieur aéronautique

Pour être ingénieur, il faut avoir un master en ingénierie (5 ans après le bac scientifique). Cette formation est possible seulement dans une quinzaine d’écoles en France. On peut par exemple avoir un diplôme d’ingénieur de l’Ecole nationale supérieure de mécanique et d’aérotechnique de Poitiers.

 

L’histoire du métier

Le métier d’ingénieur est arrivé dès l’antiquité. Les ingénieurs fabriquaient des bâtiments et des mécanismes. Mais très vite les ingénieurs se sont spécialisés.

L’arrivée de l’ingénieur en aéronautique remonte aux années 1900. Le premier vol d’un avion se fit en 1903 sur le Wright Flyer, construit par les frères Wright.

Mais depuis, les avions ont bien changé et sont passés des vols de plaisance aux vols commerciaux ; avec des avions qui peuvent transporter plusieurs centaines de passagers.

1903 - Avion Wright Flyer

 

1970 - Avion Concorde

 

 

 

 

 

 

 

Les définitions

Les définitions sont :

  • aérodynamique : c’est la force qui agit sur un objet en mouvement
  • carlingue : la carlingue est la partie habitable du fuselage
  • fuselage : le fuselage est la partie de l’avion qui comporte le train d’atterrissage et la voilure (cellule recouvrant la structure de l’avion)
  • train d’atterrissage : permet l’envol et l’atterrissage d’un avion en amortissant l’impact avec le sol
  • l’hélice : l’hélice est un dispositif composé de plusieurs pales couplées à un moteur assez puissant permettant de voler.

 

Sitographie

J’ai utilisé wikipédia et www.onisep.fr

 

 

 

 

 

 

 

Ressenti

Ce qui me plaît dans ce métier, c’est l’idée de pouvoir créer quelque chose qui puisse décoller et s’envoler alors qu’il est plus lourd que l’air.

Je n’ai pas trouvé d’informations vraiment surprenantes car je m’intéressais déjà à l’aéronautique avant. D’ailleurs cet été je suis allé dans une colonie dont le thème était l’aéronautique.

J’ai participé à plusieurs vols d’avion, dont un où j’étais copilote. J’ai aussi participé à plein d’ateliers sur l’air (construction d’une montgolfière, d’un boomerang, d’une mini-fusée).

 

Antoine C. , 4eB